Dans les profondeurs des douves du château d'Adecco, et ce maintenant depuis plusieurs années, on peut même dire que c'est depuis son mariage avec la société Adia, et enfermé "la participation", qui attend lentement qu'on entende plus parler d'elle jusqu'à une mort définitive.
Dans son donjon resplendissant, notre bon roi, Alexandre Viros, et sa cours s'en frottent les mains.
Il faut dire qu'après les milliards dépensés l'été dernier, racheter à tire-larigo, les fleurons de notre société, fallait oser.
Et vous savez quoi ils ont osé !
Plus sérieusement, comment peut-on dire à ses employés permanents et intérimaires après le rachat de Qapa, Akka et autres sociétés qui ont coûté plus de 2 milliards cet été, que cette année il n'y aura pas de participation, que les temps sont durs, que la marge n'est pas là ? En gros, qu'il n'y a plus rien pour vous qui faites vivre Adecco ...
Que vous soyez intérimaires ou permanents, vous n'auriez rien.
Nous vous laissons faire vos conclusions vous-même, nous, on a déjà fait les nôtres...
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