jeudi 30 juin 2022
Retraites : ce n’est pas sur l’âge de départ mais sur l’emploi qu’il faut agir!
mercredi 29 juin 2022
Adecco a procédé à sa réduction de capital
mardi 28 juin 2022
CSE central et CSE d’établissement : qui doit être consulté ?
lundi 27 juin 2022
Mehdi Ayadi : « En 20 ans Adecco Tunisie a connecté plus que 100 000 personnes sur le marché de l’emploi »
vendredi 24 juin 2022
Qui ne dit mot consent
CE QUE DIT LA LOI
L’article L 3141-15 du Code du travail dispose :
« Un accord d’entreprise ou d’établissement ou, à défaut, une convention ou un accord de branche fixe :
1° la période de prise des congés ;
2° l’ordre des départs pendant cette période ;
3° les délais que doit respecter l’employeur s’il entend modifier l’ordre et les dates de départ. »
L’article L 3141-16 du Code du travail précise :
« À défaut de stipulation dans la convention ou l’accord conclus en application de l’article L 3141-15, l’employeur :
1° définit après avis, le cas échéant, du comité social et économique :
a) la période de prise des congés ;
b) l’ordre des départs (…).
2° ne peut, sauf en cas de circonstances exceptionnelles, modifier l’ordre et les dates de départ moins d’un mois avant la date de départ prévue. »
jeudi 23 juin 2022
Et pendant ce temps là chez les actionnaires :
mercredi 22 juin 2022
Conseil de prud’hommes : faut-il favoriser la médiation ?
mardi 21 juin 2022
C'est la semaine de la com chez Adecco ...
Comment accompagnez-vous la digitalisation de votre offre de formation
Alexandre Viros : Elle existe à plusieurs niveaux, et en premier lieu au sujet de la data. Adecco Analytics nous permet d’avoir une vision granulaire de la dynamique d’emploi, d’anticiper les mouvements, et d’identifier les compétences les plus recherchées. Aujourd’hui, 75% des offres listent des soft skills, ce qui montre la maturité des employeurs en la matière. Le digital permet aussi de passer des partenariats avec de nombreuses startups comme Open Mind NeuroTechnologies, une méthode basée sur les neurosciences qui permet d’identifier scientifiquement les soft skills d’un candidat, ou encore Skilleo, qui applique la logique des jeux vidéo au recrutement. C’est d’ailleurs cette méthode que nous utilisons pour sélectionner le lauréat de notre programme de mentorat « CEO for one month ». Nous sommes très fiers de cette initiative, qui nous permet à la fois d’être plus inclusif et de nous remettre en question en apprenant au contact de la nouvelle génération.
Quelles sont, selon vous, les principales mutations à venir du secteur de l’emploi ?
Alexandre Viros : Il y a bien sûr le télé-travail, dont les avantages et les inconvénients varient énormément d’un métier à un autre, mais aussi la notion même de bureau à réinventer, notamment dans le secteur tertiaire, où il est désormais plus un lieu de rencontre, de coaching et de collaboration qu’un lieu de travail dans le premier sens du terme. Autre sujet montant, celui du statut de l’actif dans les années à venir. Les frontières entre les différents statuts (salarié, auto-entrepreneur, indépendant) sont appelées à devenir plus perméables, donnant ainsi à la nouvelle génération la possibilité d’être plus flexible. D’où l’intérêt pour nous d’investir dans des plateformes d’emploi et de sourcing comme QAPA, qui vont dans le sens d’une plus grande flexibilité.
A quelles annonces peut-on s’attendre à Viva Tech ?
Alexandre Viros : Nous allons annoncer le lancement d’une plateforme de recrutement sans CV à destination des jeunes : Premiers Jobs. Quelle meilleure façon de faire bouger les lignes dans un pays comme la France, encore prisonnier du CV ? L’autre atout de cette plateforme à venir est d’être liée à l’intérim de façon à pouvoir offrir aux inscrits un panel de protections comme la mutuelle, l’assurance professionnelle, qui ne sont pas proposées sur des plateformes classiques d’auto-entrepreneuriat. Preuve que l’innovation et l’amélioration des conditions de travail peuvent aller de pair.
lundi 20 juin 2022
Forte chaleur ou grand froid : les obligations de l’employeur
Si aucune indication de température n’est donnée dans le Code du travail au-delà de laquelle le salarié peut cesser son activité, certaines des dispositions du Code du Travail consacrées à l’aménagement des locaux, aux ambiances particulières de travail et au travail à l’extérieur répondent au souci d’assurer des conditions de travail satisfaisantes.
Dans le contexte du Covid-19, le ministère de la Santé et du travail déconseillent l’utilisation des climatiseurs mobiles mais autorisent les ventilateurs dès lors que le bureau est occupé par une seule personne.
Selon le ministère de la Santé, en cas d’utilisation d’un dispositif d’appoint individuel (ventilateur, climatiseur...) en usage intérieur, les recommandations sont les suivantes :
• veiller à ce que le renouvellement de l’air soir assuré régulièrement ;
• stopper le ventilateur avant qu’une autre personne n’entre dans la pièce. Le flux d’air ne doit pas être dirigé vers les personnes ;
• dans les espaces collectifs de petit volume, clos ou incomplètement ouverts, l’utilisation de ventilateur à visée de brassage/rafraîchissement de l’air en cas d’absence de climatisation est contre-indiquée dès lors que plusieurs personnes sont présentes dans cet espace (notamment salle de classe, établissements pour personnes âgées...), même porteuses de masques.
Les systèmes de climatisation, dont la maintenance régulière doit être assurée, doivent éviter de générer des flux d’air vers les personnes et de recycler l’air, en recherchant la filtration la plus performante sur le plan sanitaire.
Ces recommandations s’appliquent en cas de survenue d’une vague de chaleur.
L’employeur est tenu de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé des travailleurs de leurs établissements en y intégrant les conditions de température. Il peut prévoir un aménagement des horaires ou des cadences de travail, une surveillance des températures, l’organisation de pauses supplémentaires, la mise à disposition de ventilateurs…
Il doit également privilégier le télétravail lorsque cela est possible, veiller à ce que le port des protections individuelles soit compatible avec les fortes chaleurs et les adapter en conséquence si possible, fournir des moyens de protection contre les fortes chaleurs et/ou de rafraîchissement (ex : brumisateur).
Si les précautions prises sont insuffisantes pour garantir la santé et la sécurité des travailleurs, l’activité doit être suspendue. Les entreprises peuvent alors recourir au dispositif de récupération des heures perdues.
Il doit, dans le document unique d’évaluation des risques, évaluer ceux liés aux ambiances thermiques et veiller à ce que la ventilation des locaux soit correcte afin d’éviter les élévations exagérées de température.
L’employeur est tenu d’aménager les situations de travail à l’extérieur (abris, zones climatisées…) afin d’assurer, dans la mesure du possible, la protection des travailleurs contre les conditions atmosphériques.
Lorsque des conditions particulières de travail conduisent les travailleurs à se désaltérer fréquemment, l’employeur met gratuitement à leur disposition au moins une boisson non alcoolisée potable et fraîche. La liste des postes de travail concernés est établie par l’employeur, après avis du médecin du travail et du comité social et économique.
Recours possible à l’activité partielle
Dans le BTP, l’employeur doit mettre à la disposition de chaque salarié trois litres d’eau au moins par jour.
Il doit aussi veiller à ce que les locaux fermés affectés au travail soient chauffés, selon une température convenable, pendant la saison froide.
Les dispositions prises pour assurer la protection des salariés contre les intempéries nécessitent l’avis du médecin du travail et du CSE. L’employeur peut placer ses salariés en activité partielle lorsque l’entreprise est contrainte à réduire ou suspendre temporairement son activité en raison d’un sinistre, d’intempéries ou toute autre circonstance de caractère exceptionnel. Une période exceptionnelle de très forte chaleur ou de très grand froid peut justifier une mise en activité partielle.
S’agissant de l’exercice du droit de retrait des salariés, il est rappelé que celui-ci s’applique strictement aux situations de danger grave et imminent. L’évaluation de cette notion de danger grave et imminent est complexe et relève de nombreux facteurs, soyez donc très prudent en l’utilisant.
Si l’employeur ne prend pas de mesures contre les risques liés au froid ou à la chaleur ou prend des mesures insuffisantes, les salariés peuvent saisir l’inspecteur du travail ou le CSE, qui évalueront si les situations justifient ou non l’adoption de mesures.
vendredi 17 juin 2022
Fo l'application
FO vous invite à télécharger son application mobile afin de prendre connaissance des dernières actus de la fédération. Vous y trouverez une section ADECCO ainsi que ses représentants.
L'application est disponible sur Android et l'Apple-store:
FO intérim.
jeudi 16 juin 2022
VivaTech : Adecco lance une plateforme de recrutement sans CV pour les jeunes
mercredi 15 juin 2022
Frédéric Souillot, Secrétaire général de FO, était l’invité de Thomas Sotto.
mardi 14 juin 2022
Tract Fo en direction des Permanents :
lundi 13 juin 2022
L’égal accès au vote électronique
Dans cette affaire, une entreprise avait organisé des élections professionnelles, et avait choisi de procéder à un scrutin uniquement par voie électronique.
La difficulté est qu’une grande partie des électeurs du collège « employés » ne parvenait pas à se connecter sur la plateforme de vote.
Les salariés avaient donc demandé à ce qu’il leur soit permis d’accéder à ladite plateforme au moyen d’ordinateurs appartenant à la société qui leur seraient alors prêtés, ou en leur permettant l’accès à la plateforme de vote depuis leur propre ordinateur personnel, qu’ils utiliseraient dans l’entreprise. En effet, les salariés concernés ne disposaient pas d’un poste de travail dans les locaux de la société.
Soucieux, selon lui, de garantir la confidentialité du scrutin, l’employeur avait considéré que l’utilisation d’ordinateurs de l’entreprise ou d’ordinateurs personnels par les salariés ne permettait pas de garantir la confidentialité du scrutin notamment au regard des données transmises, notamment de celles des fichiers constitués pour établir les listes électorales des collèges électoraux, ainsi que la sécurité de l’adressage des moyens d’authentification, de l’émargement, de l’enregistrement et du dépouillement des votes. Il avait donc interdit une telle utilisation d’ordinateurs aux salariés qui l’avaient alerté de ce problème. Ces derniers avaient été en conséquence dans l’impossibilité d’exercer leur droit de vote.
Des syndicats saisissent le tribunal judiciaire d’une demande d’annulation des élections professionnelles. Les premiers juges font droit à leur demande. L’employeur se pourvoit alors en cassation.
Le respect de la confidentialité du vote peut-il justifier l’exclusion d’une partie des salariés du scrutin ?
La Cour de cassation répond à cette question par la négative. Elle commence par rappeler la possibilité pour l’employeur de procéder au vote électronique sur le fondement de l’article L 2314-26.
Elle ajoute que si, selon les articles R 2314-5 et R 2314-6, le recours au vote électronique est possible pour les élections professionnelles, c’est à la condition que le système retenu assure la confidentialité des données transmises, notamment de celles des fichiers constitués pour établir les listes électorales des collèges électoraux, ainsi que la sécurité de l’adressage des moyens d’authentification, de l’émargement, de l’enregistrement et du dépouillement des votes.
Mais attention, le respect de ces exigences ne se fait pas au détriment des principes généraux du droit électoral (Cass. soc., 3-10-18, n°17-29022) ! Or, en cherchant à respecter la confidentialité du scrutin, l’employeur a, en l’espèce, porté une atteinte au principe général d’égalité face à l’exercice du droit de vote. Les salariés qui n’ont pas eu accès à la plateforme dans les conditions initialement prévues, ont été exclus du scrutin, sans qu’aucun aménagement du vote ne leur soit proposé.
La Cour de cassation confirme donc la position du juge du fond. L’employeur, alerté des problèmes d’accès à la plateforme aurait dû s’assurer que l’ensemble de ses salariés pourraient avoir accès à un matériel permettant d’exercer leur droit de vote. Il aurait dû mettre en place des procédés permettant de pallier le défaut d’accès de ses [salariés] au matériel de vote, comme, par exemple, la mise en place dans ses établissements des terminaux dédiés au vote électronique avec un protocole garantissant la sécurité et la confidentialité des votes.
En s’abstenant de procéder à de tels aménagements, les juges ont constaté que la société n’avait pas pris les précautions appropriées pour que ne soit écartée du scrutin aucune personne ne disposant pas du matériel nécessaire ou résidant dans une zone non desservie par internet, ce dont il résultait une atteinte au principe général d’égalité face à l’exercice du droit de vote, constituant à elle seule une cause d’annulation du scrutin, quelle que soit son incidence sur le résultat.
Cet arrêt érige en principe général du droit électoral l’égal accès au droit de vote de tous les salariés, quelles que soient les modalités du scrutin. En cas de mise en place d’un scrutin électronique lors des élections professionnelles l’employeur doit s’assurer que l’ensemble de ses salariés pourront avoir accès à un matériel permettant d’exercer leur droit de vote.
vendredi 10 juin 2022
Adhésion Force Ouvrière :
Nous vous rappelons les modalités d'inscriptions à notre organisation syndicale.
Vous voulez une protection sociale ? Vous souhaitez vous investir à nos côtés ? Voici le document à nous retourner afin d'adhérer à force Ouvrière intérim.
jeudi 9 juin 2022
Congrès confédéral : résultats des élections des instances:
Ont été élus à la Commission des conflits :
Laurent AUBERSIN (FO Finances)
François BUCAILLE (UD FO 71)
Emmanuel DUBARRE (FD Chimie)
Alain MOLINA (UD FO 17)
Reza PAINCHAN (UD FO 93)
Anita PASSANANTE (FEC)
Raymond PONTVIANNE (FO Bâtiment)
Olivier REPESSE (UD FO 69)
Hubert RAGUIN (FNEC FP)
Richard ROZE (FGTA)
mercredi 8 juin 2022
Sous la terre battue de Roland-Garros, la galère des intérimaires.
mardi 7 juin 2022
XXVe Congrès FO à Rouen : Les revalorisations salariales, c’est maintenant !
Le secteur bancaire n’est pas en reste, contre toute attente. Les bas salaires sont nombreux, a renchéri Mireille Herriberry, secrétaire fédérale FO-Banques et sociétés financières. Dans la branche AFB, trois niveaux de classification se situent désormais en dessous du Smic, et c’est inédit. La situation est la même dans la branche des sociétés financières. Les entreprises utilisent la politique salariale comme une simple variable d’ajustement financière, a expliqué la secrétaire fédérale. En février, FO a demandé aux ministères de l’Économie et du Travail d’intervenir face aux propositions indécentes du patronat des banques commerciales, se résumant alors à une proposition de hausse de… 1,6 % pour les seuls minima (2 000 salariés concernés), alors que le secteur a enregistré des résultats 2021 historiques. Sans retour ministériel. Les négociations se sont conclues par un procès-verbal de désaccord. Appuyée par une intersyndicale, FO exige une nouvelle ouverture des NAO 2022, et toujours une revalorisation générale des salaires
Appels à la grève
Dans les industries électriques et gazières, FO a décidé d’engager le rapport de force et appelle les personnels à la grève le 2 juin, dans le cadre d’une action interfédérale, pour envoyer un message clair aux employeurs sur la nécessité d’une revalorisation significative du SNB (salaire national de base). Alors que le salaire minimum a augmenté de 5,8 % depuis octobre 2021, les employeurs de la branche ont pris une décision unilatérale d’augmentation du SNB de 0,3 % au 1er janvier 2022. Il est inadmissible que le salaire brut d’entrée (NR 40, échelon 4) soit inférieur au Smic, et que l’ensemble de la grille salariale ne soit pas revalorisé par le biais d’une augmentation du SNB, a martelé Alain André, secrétaire général de la Fédération Énergies et Mines FO, pour qui les revalorisations salariales, c’est maintenant !. La FNEM-FO revendique une hausse de 5 % a minima.
Des deux premières journées du XXVe Congrès confédéral FO, le cas particulier du groupe Aéroports de Paris (ADP), au capital duquel l’État est majoritaire, restera l’un des plus emblématiques de l’austérité sans précédent imposée aux travailleurs. FO y appelle à la grève le 9 juin, pour exiger une hausse générale des salaires d’un minimum de 5 %, et endiguer les conséquences du PACT (plan d’adaptation des contrats de travail), qui a organisé en 2021 une baisse des rémunérations de l’ordre de 5 % en supprimant certaines primes, par le biais de signatures d’avenants au contrat de travail. Un énième coup de massue pour le personnel qui, depuis la pandémie, a subi un recours généralisé à l’activité partielle, puis 1 150 départs en 2021 (dont 700 non remplacés) dans le cadre d’une RCC (rupture conventionnelle collective). La direction motivait alors le PACT par la nécessité de réaliser des économies dans le contexte de baisse du trafic aérien. Un argument fallacieux pour FO [le trafic devant nécessairement reprendre, NDLR], qui n’a cessé d’exiger son retrait, notamment par la grève. Le PACT a été un chantage au licenciement. Les salariés refusant de signer l’avenant s’exposaient à un licenciement dans le cadre d’un plan de sauvegarde de l’emploi, a rappelé Fabrice Criquet, secrétaire du syndicat FO-ADP.
Mais de « compensation » salariale dans le groupe ADP, il n’y en a toujours pas. Sans même parler de prise en compte de l’inflation galopante pour maintenir le pouvoir d’achat des agents, déjà entamé par le PACT. Les négociations NAO, courant janvier, se sont conclues par un procès-verbal de désaccord, la direction restant sur une proposition d’augmentation générale de… 0,5 %, outre l’engagement d’une négociation d’un accord d’intéressement. FO n’a rien lâché. Fort de la signature de 498 agents de toutes catégories et de toutes les plateformes (Roissy, Orly, Bourget et aérodromes secondaires) à sa lettre ouverte exigeant une augmentation générale de 5 %, le syndicat a obtenu en avril de rencontrer le P-DG, et son engagement à prendre des mesures de pouvoir d’achat… dans les quatre semaines.
On les attend encore ! Mais c’est maintenant, et aujourd’hui, que les salariés doivent passer à la station-service, payer leurs factures et leurs courses. C’est maintenant, et aujourd’hui, que nombre d’entre eux ont dû mal à finir le mois, à payer les factures, a tonné Fabrice Criquet à la tribune du XXVe Congrès confédéral en annonçant l’appel à la grève de FO-ADP le 9 juin. Sous les applaudissements.
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Le 8 octobre 2021 : ouverture des locations week-end Après plusieurs mois de suspension les locations week-ends d' Adecco Relax, loca...
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Bonjour à tous notre site fait peau neuve 😊. Nous informons que nous avons migré notre blog d'information Adecco à cette nouvelle adres...